3 semaines à Cuba : itinéraire, conseils et adresses

En juillet 2017, j’ai passé trois semaines sur les routes de Cuba, vingt-et-un jours à la rencontre d’un pays à part. De La Havane à Santiago de Cuba, en passant par Trinidad, Camagüey ou Santa Clara, le voyage n’a pas été sans surprise…

Itinéraire de mes 3 semaines à Cuba

La plupart des gens partent deux semaines à Cuba. Pour ma part, j’avais prévu trois semaines sur place, ce qui m’a notamment permis de pousser jusqu’à Santiago de Cuba, à l’extrême Est du pays. J’ai trouvé ces trois semaines amplement suffisantes pour faire connaissance avec le pays et j’avoue que je ne sais pas bien comment j’aurais occupé mon temps en restant plus longtemps.

Arrivé à La Havane avec un vol Air France au départ de Paris Charles-de-Gaulle (la plupart des vols qui partent de France ou de Belgique ont La Havane pour destination), j’ai un peu hésité sur le nombre de nuits à y réserver. J’ai finalement commencé mon séjour en passant quatre nuits dans la capitale de Cuba, y découvrir la vieille ville, ses principaux monuments et musées. A posteriori, j’aurais peut-être dû y passer un jour de moins, surtout que j’y suis revenu à la fin de mon séjour pour reprendre l’avion. Voilà pourquoi je conseillerai d’y passer trois jours, ce qui permet déjà de voir l’essentiel, voire plus.




C’est à Vinalès que j’ai ensuite posé ma valise, à l’ouest de La Havane. Un changement radical puisque de la capitale, j’ai atterri en pleine campagne. J’ai passé trois nuits dans cet endroit splendide, ce qui m’a non seulement permis de me promener dans la vallée à pied et à cheval, de profiter de ses paysages verdoyants, mais aussi de faire une excursion d’une journée sur la plage enchanteresse de Cayo Levisa. Trois jours sur place, c’était parfait.

Après Vinalès, je suis allé à Trinidad, une cité coloniale magnifique au centre du pays. Tout comme La Havane et Vinalès, il s’agit d’un incontournable pour la plupart des touristes, qui passent aussi une bonne partie de leur séjour sur les plages de Varadero. Les quatre nuits que j’ai passé à Trinidad m’ont permis de parcourir la ville et ses alentours : le parc national de Topes de Collantes ou encore la vallée de Los Ingenios. J’aurais même pu y rester plus longtemps et partir en excursion à cheval ou aller à la plage dans les environs. Mais j’avais déjà fait tout ça à Vinalès et j’ai préféré continuer ma route. Peut-être aurais-je dû y rester un jour de plus…

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Les ennuis ont commencé après Trinidad. Pour rejoindre Santiago de Cuba, j’ai fait halte à Camagüey, où je pensais ne rester qu’une nuit avant de poursuivre ma route. Mais n’ayant pas réservé mon bus à l’avance, il m’a été impossible de partir comme prévu et j’ai dû passer une nuit supplémentaire à Camagüey. La ville n’est pas désagréable, mais il n’y a vraiment pas grand chose à y faire…

Quand je suis finalement arrivé à Santiago de Cuba, c’était avec la volonté d’y passer quatre jours. J’ai vite déchanté. Il n’y avait pas énormément d’activités en ville, mis à part celles liées au carnaval. J’ai peut-être été mal renseigné par l’office de tourisme (qui n’a même pas fait mention du cimetière où reposent José Marti et Fidel Castro) mais j’ai eu l’impression que, s’il y avait moins de touristes à Santiago, il y avait aussi moins de choses pour les y occuper. Je suis reparti après deux jours sur place, et je ne suis pas sûr que je conseillerai à quiconque d’y passer autant de temps s’il n’y avait pas le carnaval.

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Rejoindre Santa Clara depuis Santiago ne s’est pas fait sans difficultés. Mon plan initial était d’y aller depuis Trinidad mais ça n’avait pas été possible. De retour de Santiago, Santa Clara m’a fait un bien fou. Plus petite, plus calme, moins agressive envers les touristes, elle constitue surtout une étape obligatoire pour ceux qui s’intéresse au Che. Deux nuits m’ont permis d’en faire le tour.

C’est à Cienfuegos, la perle du Sud, que j’ai terminé mon voyage à Cuba, pour y passer trois jours. Il ne s’agit encore une fois pas d’une grande ville et le rapport avec les Cubains y est sans doute plus authentique. Un jour pour s’y promener, un deuxième pour aller à la plage de Rancho Luna, un dernier pour retourner au parc national de Topes de Collantes. Je pense qu’il est inutile de prévoir d’y rester plus longtemps. Je suis finalement retourné à La Havane où j’ai passé ma dernière nuit avant de repartir pour la France.

Les transports à Cuba

J’ai eu l’impression d’emprunter presque tous les modes de transport disponibles à Cuba pour m’y déplacer. Que ce soit à pied, en taxi, en bus, en taxi collectif ou en vélo-taxi… La seule chose que je n’aurait pas testé, ce sont les coco taxi, ces tricycles motorisés en forme d’œuf qu’on trouve principalement à La Havane.

Faut-il préférer le bus ou le taxi-collectif pour aller d’une ville à l’autre ? Les deux ont leurs avantages. Le bus est le plus souvent moins cher mais ses trajets durent plus longtemps. Le taxi-collectif a l’avantage de venir vous chercher à votre domicile et de vous déposer directement à l’adresse de votre destination. Si j’avais prévu de faire le plus gros de mes trajets en bus, j’ai souvent dû m’adapter et avoir recours au taxi-collectif, plus confortables et plus flexibles.

Viazul, la compagnie nationale de bus permet d’aller à peu près partout dans le pays, pour peu que les bus ne soient pas pleins. ça m’est arrivé pour aller à Santiago et sur le chemin du retour. Pour aller de La Havane à Vinalès, je n’ai pourtant pas utilisé les bus Viazul parce qu’il aurait fallu aller jusqu’à la gare routière, située à l’extérieur de la ville. J’ai préféré passer par une agence de voyage située dans le centre-ville, à l’hôtel Plaza pour être précis, et prendre un bus de la compagnie Transtur. Dans tous les cas, attention à bien réserver vos billets de bus à l’avance. Ceux-ci se remplissent très vite selon la saison et il ne faut pas hésiter à acheter vos billets trois jours à l’avance, voire plus, pour avoir la paix.

Si malheureusement, vous vous retrouvez face à un bus complet, le taxi collectif pourra peut-être vous aider. Le principe du taxi collectif est de remplir le véhicule au maximum pour réduire le prix de la course. Quand je l’ai utilisé pour la première fois pour aller de Vinalès à Trinidad, c’était surtout pour gagner du temps. Mais la solution s’est révélée tellement convaincante que je l’ai aussi utilisée pour aller de Santiago de Cuba à Santa Clara, puis de Santa Clara à Cienfuegos, puis de là jusqu’à La Havane. J’ai eu de la chance parce que les prix étaient à chaque fois à peine plus élevés que le bus.

Je n’ai pas testé le train, mais il existe, je l’ai vu et entendu à Santa Clara. Non seulement il a mauvaise réputation au point de vue du confort et de la fiabilité (souvent en retard, si pas annulé), mais il m’a en plus été déconseillé par les Cubains à qui j’en ai parlé à cause de l’insécurité qui y règne.

Quel budget faut-il prévoir pour Cuba ?

J’estime avoir dépensé aux alentours de 1200 euros lors de mes trois semaines à Cuba, hors billets d’avion. Je ne m’attendais pas forcément à dépenser autant et Cuba s’est révélée plus chère que prévu. Il faut dire qu’il y a deux monnaies sur l’île : une utilisée par les touristes (les CUC, ou pesos convertibles) et une utilisée par les Cubains (les CUP, ou pesos cubains). Cette double monnaie permet de faire payer les touristes plein pot (ou presque) sans trop toucher au pouvoir d’achat des Cubains.

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J’ai longtemps comparé les vols et les différentes compagnies aériennes pour essayer de trouver un billet d’avion au meilleur prix. Premier enseignement : si j’ai réservé presque six mois avant le départ, je n’ai pas vu de grandes fluctuation par après, et j’aurais pu obtenir quasiment le même prix un mois avant mon départ. Comme je l’ai dis, je suis parti de Paris avec Air France. Si c’était à refaire, j’hésiterai peut-être moins à faire confiance à une compagnie que je connais moins, Air France m’ayant beaucoup déçu au retour (écran multimédia en panne, éclairage en plein visage pendant trois heures, personnel de mauvaise foi… une très mauvaise expérience en fait). Pour surveiller les prix des billets d’avion, j’utilise l’outil gratuit Google Flights.

Une nuit en casa particular coûte de 15 à 35 CUC (plus ou moins l’équivalent en euros), mais ma moyenne a plutôt tourné autour des 25 CUC par nuit. Elles coûtent un peu plus cher à La Havane ou à Varadero par exemple. On peut parfois négocier que le petit-déjeuner soit inclus, mais sinon, on peut y avoir droit dans la majorité des casas pour 3 ou 5 CUC.

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Je ne vais pas aborder la question des restaurants en détails, mais j’ai toujours trouvé de quoi me nourrir pour moins de 10 CUC. Les fruits de mer et autres langoustes sont souvent un peu plus chers, tout comme certains restaurants surcôtés, mais il y en a pour tous les goûts à Cuba. Les cocktails sont par ailleurs très abordables et je regrette depuis mon retour de ne plus trouver de mojitos à 2,5 CUC. Notez enfin qu’on s’attend à un pourboire représentant entre 5 et 10% du prix payé.

Pour obtenir vos précieux CUC justement, le plus simple est de changer vos euros à la sortie de l’aéroport international José-Martí. On trouve assez facilement des distributeurs dans les grandes villes, mais toutes les cartes ne sont pas acceptées. Dans les commerces, ce n’est d’ailleurs quasiment jamais le cas, il est donc préférable de toujours se promener avec des espèces. Un bureau de change est situé tout juste à la droite de la sortie de l’aéroport. Le taux de change n’y est sans doute pas plus intéressant qu’ailleurs, celui-ci étant règlementé, et il est préférable de bien recompter vos billets, comme partout ailleurs, sitôt la transaction effectuée.

Mes bonnes adresses

Pour mon séjour à Cuba, je n’avais réservé à l’avance que mon premier hébergement. J’ai choisi, comme bien des voyageurs, de séjourner chez l’habitant, dans des casas particulares qui s’apparentent un peu à des Bed & Breakfasts. Qu’on souhaite séjourner dans une casa ou dans un hôtel, il faut de toute façon avoir un logement à son arrivée à Cuba, une adresse pouvant vous être demandée, comme aux États-Unis. Ma première casa, celle de La Havane, je l’ai trouvée sur Airbnb. Le site s’est en effet ouvert aux Cubains depuis quelques mois et y réserver une casa s’y fait en quelques clics. Il faut juste répondre à une question un peu étrange sur la raison de son séjour. J’ai pour ma part opté pour la réponse : « soutien au peuple cubain ».

La suite du séjour a été parfois un peu plus compliqué. On peut très facilement demander à un hôte d’une casa s’il peut nous aider à en réserver une dans la prochaine ville où l’on se rend, mais parfois, ça ne fonctionne pas comme prévu. Je n’ai par exemple jamais trouvé la dame censée m’attendre à Vinalès et j’ai donc dû faire du porte à porte pour trouver une autre casa – rien d’insurmontable. A partir de là, je suis allé de recommandation en recommandation, jusqu’à Santa Clara où je me suis à nouveau retrouvé sans casa. Je n’ai eu aucun problème pour en trouver une autre et retourner à nouveau de recommandation en recommandation jusqu’à La Havane.

Les casas sont facilement reconnaissables dans la rue car leur porte est surmontée d’un petit sigle bleu. Il suffit alors de taper à la porte, de visiter la chambre et, si tout vous convient, de passer au processus d’enregistrement (durant lequel on vous demandera votre passeport). J’ai vraiment trouvé que les casas particulares étaient le logement idéal pour visiter Cuba, sachant qu’on peut bien souvent y prendre son petit-déjeuner et y manger le soir, le rapport qualité/prix étant souvent bien meilleur que dans les restaurants.

Petit mode d’emploi pour lire les adresses qui suivent : on commence normalement par le nom de la rue et le numéro de l’habitation. Le « e/ » signifie « entre » et on stipule ensuite les deux rues perpendiculaires entre lesquelles se trouve l’adresse (par exemple Aguacate y Compostela : entre Aguacate et Compostela).

A La Havane

Casa particular Las Idilias
Luz 364 2do piso e/ Aguacate y Compostela, La Habana, Cuba
Réserver sur Airbnb
Notre première casa particular ! Pas forcément la meilleure de notre séjour, mais une adresse fiable et très convenable. Osniel et sa famille nous ont accueilli chaleureusement et nous ont bien aidé durant nos premiers jours. Situé dans la vieille Havane, nous étions à 10 minutes à pied du centre historique (voire moins si on ne se perd pas une fois sur deux comme nous). Les deux formules du petit-déjeuner (léger ou complet) sont bien trouvées, la chambre et sa salle de bain étaient parfaitement propres et fonctionnelles. Seul bémol, la climatisation, un ancien modèle bruyant.

Casa de Nancy y Viamontes
Cristo 28 e/ Teniente Rey y Muraya, La Habana, Cuba
Tel : 7 864 74 76
Notre dernière casa ! A deux pas du capitole, elle est au coeur de la vieille Havane. Belle décoration à l’intérieur avec des murs couverts d’art cubain, les chambres sont également bien équipées (une climatisation moderne et silencieuse !). Nancy a été charmante avec nous et a notamment gardé nos valises pour notre dernier jour sur place. Un très bon point final à notre séjour sur place.

A Vinalès

Casa Alejandro y Alexander – Vista a la Montaña
Adela Azcuy (Norte), 45 (environ… en face de la 47), Viñales, Cuba.
Réserver sur Airbnb
Le coup de coeur « rencontre » du voyage ! Cette casa, nous l’avons trouvée en faisant du porte à porte dans la rue Adela Azcuy de Viñales. Elle nous été recommandée au numéro 47 et nous avons traversé la rue pour rencontrer Sandra et sa famille. Ses poules et ses cochons, aussi. Avec son porche, sa vue imprenable sur la vallée et sa chambre tout à fait convenable, cette casa nous a paru être un cadeau du ciel. Surtout, Sandra s’est pliée en quatre pour nous aider alors qu’on se faisait comprendre difficilement en espagnol. Je me rends en plus compte qu’il est possible de la réserver via Airbnb. Pourquoi attendre ?

A Trinidad

Hostal Odalys y Adel, Casa colonial
Gustavo Izquierdo, 61, e/ Francisco J. Zerquera y Simon Bolivar, Trinidad
ruvia@nauta.cu – Tel : (53) 419 987 87 – Voir le site web

Tenue par Odalys, une petite bonne femme haute en couleur, cette casa a marquée nos esprits. Très bien située, en plein centre de Trinidad, elle est aussi très confortable – du moins, sa plus grand chambre. La deuxième chambre qui donne sur la rue, avec sa vieille climatisation, était un peu moins à mon goût. La cuisine d’Odalys est à goûter absolument, et les petits déjeuners sont gigantesques. Un très bon point de chute à Trinidad.

A Camagüey

Casa Leidys Villafana Solano
Calle HNOS. Aguero 6, e/ Independencia y Cisneros, Camagüey, Cuba.
Tel : (0132) 299 115 – Cel : (53) 539 927 46

Recommandée par Odalys à Trinidad, cette casa est sans nulle doute une des meilleures à laquelle nous avons eu droit à Cuba en termes de confort. Leidys nous a bien aidé une fois encore, épaulée par sa fille pour nous aider à traduire de l’anglais vers l’espagnol. La casa est une fois de plus bien située, dans le centre de Camagüey. Son seul défaut ? Être à Camagüey, où il n’y a finalement pas grand chose à faire…

A Santiago de Cuba

Casa Cele, Celene y Ricardo
Calle 3, 51, altos e/ Angel Luis Salazar (Independencia) y A. Reparto Sueno, Santiago de Cuba.
Réserver sur Airbnb
Je la mets à titre indicatif mais c’est ma seule déception au niveau des casas de Cuba. Elle était pourtant dans le même « réseau » que celle de Camagüey et Trinidad. Non que nous y aillons été mal accueillis, au contraire. Ricardo était très souriant et toujours disponible pour répondre à nos questions. Par contre, la casa était bien trop loin du centre-ville pour être vraiment pratique et, vu la chaleur à Santiago en plein mois de juillet, la vieille climatisation de la chambre nous a fait un peu pitié. On doit vraiment pouvoir trouver mieux.

A Santa Clara

Hostal Casa Lorenzo
Marti 255 – A e/ San Isidro y Union, Santa Clara, V.C., Cuba
Tel : (53) 4222 276 55 – Cel : (53) 537 677 62 – juancarlossagitario9@gmail.com

Réserver sur Airbnb
Après Vinales, c’est la deuxième fois que nous sommes arrivés quelque part sans trouver la casa promise. Heureusement, des passants nous ont orienté vers la casa Lorenzo et sa petite famille. Des gens très gentils, une fois encore très chaleureux. Avec Vinalès, c’est aussi la seule casa où nous avons pu prendre le petit-déjeuner dehors, sur une terrasse. Que dire de plus ? Près du centre-ville et du monument du train blindé, c’est aussi la moins chère des casas que nous avons fait à Cuba.

A Cienfuegos

Casa de Hospedaje – Enrique y Ines
Ave 60, 3705 e/ 37 y 39, Cienfuegos, Cuba
Tel : (53)(43) 515 641 – orfaines1955@gmail.com

Après Vinales, sans doute la meilleure casa de mon séjour. Ines a été adorable du début à la fin, jusqu’à nous faire signe au moment de notre départ avec un taxi collectif. J’en avais presque les larmes aux yeux. Petit-déjeuner et cuisine de haute volée, il y a aussi une petite terrasse dont la pluie nous a trop souvent tenu écarté. Elle est aussi plutôt bien placée dans Cienfuegos. Je la recommande sans hésiter !

Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller lire mon récit de voyage « Looking for Fidel : un voyage à Cuba« , en accès libre sur Wattpad.

8 Replies to “3 semaines à Cuba : itinéraire, conseils et adresses”

  1. Super article ! Très complet, j’ai fait un peu le même voyage que toi mais je me suis arrêtée à la moitié de l’île ! Je n’ai malheureusement pas eu le temps d’aller jusqu’à Santiago . Je suis assez d’accord sur le fait qu’au bout d’un moment on a l’impression d’avoir tout vu ! C’est marrant d’ailleurs j’ai des photos qui ressemblent beaucoup aux miennes (cela ne m’étonne pas j’y était aussi en juillet ! haha). A très vite !

    1. Merci ! Quand on voit nos photos de Trinidad, je me dis qu’on s’est peut-être même croisés sur place ! 😀 J’avais hésité à aller à Playa Larga et quand je lis ton blog, je me dis que j’aurais dû m’y arrêter…

  2. Sorry, I don’t speak French, but just wanted to say to be very careful if you stay at Casa Leidys Villafaña Solano. My boyfriend and I stayed there in January, and we were robbed. They took money from our suitcase.

    1. Thanks for your comment, Eva. I’m so sorry for your misfortune. Are you sure it was the same address? I had a very good experience at Casa Leidys but then again, I had a padlock on my suitcase. Anyway, it’s a painful reminder that whenever you sleep in a guesthouse, a B&B or even a youth hostel, you should always be extra careful with your belongings. I hope the whole thing didn’t tarnish your stay in Cuba.

  3. Un grand merci pour cet article complet et synthétique ! Au vu des galères de transport (résa de bus, places disponible, etc), et pour une famille de 5 personnes, ne serait-il donc pas préférable de louer une voiture sans chauffeur, qu’on trouve à 80-100 €/jour ? Au cours des trajets longs en taxi ou bus, certains décors ou paysages t’auraient-ils donné envie de t’arrêter pour découvrir ? Si oui, dans quels secteurs ? On envisage en effet quasiment le même circuit que toi en juillet prochain et à la même période. Tes différents commentaires devraient nous permettre de dégager le temps disponible pour rajouter Varadero comme étape en fin de séjour.

    1. Effectivement, pour une famille, louer une voiture est sans doute plus intéressant niveau budget et moins synonyme de galère. Par contre, il faudra faire avec la route et ses trous (c’est un vrai gruyère) et je ne parle même pas de la question du parking (je n’ai aucune idée d’où se garer en ville par exemple). Pour les coins qui m’auraient donné envie, je pense à Playa Larga ou à la Baie des Cochons, zones dans lesquelles j’aurais bien fait un arrêt…. N’hésite pas si tu as d’autres questions !

  4. Merci pour cet article très complet. J’ai visité Cuba en 1999, et oui 20 ans déjà… J’envisage d’y retourner l’hiver prochain et je commence à préparer mon itinéraire. J’espère seulement que l’île ne s’est pas trop américanisée. Car déjà à l’époque c’était « one dollar » par-ci par-là…

    1. Merci pour ton commentaire Magali ! J’avais également peur de l’américanisation de l’île, mais on en était encore loin. Attention, les choses évoluent très vite, mais je pense que ça va surtout toucher quelques zones précises d’abord et qu’il faudra quelques années pour que ça devienne véritablement gênant.

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